> Après avoir montré qu’une volonté bonne est une volonté qui se soumet à l’impératif catégorique sans subir les contraintes de la sensibilité, ????? envisage, dans la troisième section des Fondements de la métaphysique des mœurs, le fondement de cette autonomie de la volonté : l’idée de la liberté, qui ne peut être attribuée qu’à un être raisonnable.