> En 1876, Clifford, dans « l’Éthique de la croyance », avait soutenu que « si je m’abandonne à croire quoi que ce soit sur la base d’éléments de preuve insuffisants », alors « il est inévitable que je cause, en m’abandonnant à croire de cette façon, un grand tort à l’Homme, celui de m’être rendu crédule ». Vingt ans plus tard, dans « la Volonté de croire », ????? cherche à répondre à Clifford. La liberté de croire ne peut s’appliquer qu’à des options vivantes entre lesquelles l’intelligence de l’individu concerné ne peut trancher par elle?même ; et une option vivante ne paraît jamais absurde à celui qui l’envisage.