Descartes – Du doute méthodique à l'intuition du Cogito

Descartes – Dieu comme garant de la validité de la connaissance humaine

Descartes – La physique

  • Descartes affirme que
    • l'objet de la science
      • n'est pas les qualités perçues avec les sens
        • puisqu'elles sont variables, changeantes, donc subjectives et pas quantifiables
      • mais les qualités connues avec la raison
        • puisqu'elles sont stables et immuables, donc objectives et quantifiables
    • le monde physique
  • il élabore alors
    • une physique mécaniste
      • l'Univers entier serait gouverné par deux principes
        • la matière est inerte
        • il y a une conservation de la quantité de mouvement
        • toutefois
          • la science de Descartes ne s'arrête pas au moment abstrait et déductif, elle reconnaît l'importance de la méthode expérimentale
            • puisque c'est grâce à elle que les hypothèses peuvent être confirmées
  • il envisage
    • la nature comme une machine
      • elle ne ferait que suivre les lois de l'extension et du mouvement
      • elle ne doit donc être étudié que dans ses caractéristiques objectives

Descartes – Le rapport entre le corps et l'âme, l'analyse des passions

  • Descartes affirme que
    • chez l'homme il y a un dualisme entre le corps et l'âme
      • la res extensa (matière)
      • la res cogitans (pensée)
      • elles sont distinctes et indépendantes
        • donc l'âme peut tout à fait continuer à exister même si le corps meurt
    • les animaux sont des êtres vivants tout à fait semblables à des automates
      • ils agissent de manière déterministe et n'ont pas de langage articulé
    • les hommes ne sont pas totalement réductibles à des machines
  • élabore ensuite une solution possible au dualisme
  • établit
    • une morale provisoire composée de trois maximes
  • distingue en l'homme
    • les actions
    • les passion
      • des affections involontaires causés par des forces mécaniques du corps
    • l'homme doit donc apprendre à dominer ses passion qui l'asservissent
      • ce faisant, il se libère de la passivité et de la sujétion au corps et affirme son libre arbitre