Descartes – Du doute méthodique à l'intuition du Cogito
- Descartes croit que
- la raison appartient à tous les hommes
- mais une méthode rigoureuse pour son application est indispensable
- il traite ainsi des 4 règles de la méthode
- il recherche donc
- croit alors que
Descartes – Dieu comme garant de la validité de la connaissance humaine
- Descartes affirme que
- il soutient alors que
- il en conclut que
Descartes – La physique
- Descartes affirme que
- l'objet de la science
- n'est pas les qualités perçues avec les sens
- puisqu'elles sont variables, changeantes, donc subjectives et pas quantifiables
- mais les qualités connues avec la raison
- puisqu'elles sont stables et immuables, donc objectives et quantifiables
- le monde physique
- il élabore alors
- une physique mécaniste
- l'Univers entier serait gouverné par deux principes
- la matière est inerte
- il y a une conservation de la quantité de mouvement
- toutefois
- la science de Descartes ne s'arrête pas au moment abstrait et déductif, elle reconnaît l'importance de la méthode expérimentale
- puisque c'est grâce à elle que les hypothèses peuvent être confirmées
- il envisage
- la nature comme une machine
- elle ne ferait que suivre les lois de l'extension et du mouvement
- elle ne doit donc être étudié que dans ses caractéristiques objectives
Descartes – Le rapport entre le corps et l'âme, l'analyse des passions
- Descartes affirme que
- chez l'homme il y a un dualisme entre le corps et l'âme
- la res extensa (matière)
- la res cogitans (pensée)
- elles sont distinctes et indépendantes
- donc l'âme peut tout à fait continuer à exister même si le corps meurt
- les animaux sont des êtres vivants tout à fait semblables à des automates
- ils agissent de manière déterministe et n'ont pas de langage articulé
- les hommes ne sont pas totalement réductibles à des machines
- élabore ensuite une solution possible au dualisme
- établit
- une morale provisoire composée de trois maximes
- distingue en l'homme
- les actions
- les passion
- des affections involontaires causés par des forces mécaniques du corps
- l'homme doit donc apprendre à dominer ses passion qui l'asservissent
- ce faisant, il se libère de la passivité et de la sujétion au corps et affirme son libre arbitre