Y a-t-il une causalité en histoire ?

Bien sûr ! Voici le guide étape par étape pour rédiger la dissertation sur le sujet "Y a-t-il une causalité en histoire ?" en suivant la structure fournie :

I) Présentation du paradoxe et définitions :
Le sujet "Y a-t-il une causalité en histoire ?" pose la question de savoir si les événements historiques sont le résultat de causes identifiables et de liens de cause à effet. Si on suppose effectivement que chaque événement historique est déterminé par des causes spécifiques (Definition 1), alors cela implique que l'histoire suit un schéma causal, où chaque action trouve ses racines dans des événements antérieurs. Au contraire, si on nie effectivement cette idée (Definition n?2), alors cela a pour conséquences que l'histoire est une série d'incidents aléatoires sans lien causal clair.
Exemple : En prenant la Révolution française comme exemple, la vision causaliste soutiendrait que les tensions sociales et économiques ont conduit au déclenchement de la Révolution, tandis que l'approche non causale pourrait affirmer que divers facteurs aléatoires ont contribué à l'éclatement de cet événement.

II) Énonciation des alternatives et problématisation :
Il semble à première vue que oui, il y a une causalité en histoire, puisque chaque événement historique est souvent expliqué à partir de causes et de conséquences identifiables (Thèse 1). Ainsi, la doxa tend à considérer que l'histoire est façonnée par des causes déterminantes.
D'un autre côté, à première vue, on peut soutenir que non, il n'y a pas de causalité en histoire, car les événements historiques sont souvent complexes et multiples, résultant de divers facteurs et contingences (Thèse 2). Par conséquent, il semble souvent que l'expérience historique contredise cette réponse évidente, créant un paradoxe.
Exemple : La Première Guerre mondiale peut être examinée sous l'angle causaliste, mettant en avant les alliances, les rivalités nationales et les causes économiques comme déclencheurs. Cependant, une analyse non causale pourrait considérer la guerre comme un résultat complexe d