I) Présentation du paradoxe et définitions
La subjectivité est la faculté d'éprouver des sentiments, des sensations, des émotions, des pensées. Elle est souvent associée à la conscience, qui est la capacité de se représenter soi-même et le monde qui nous entoure.
Le sujet de la dissertation pose la question de savoir si les êtres vivants, c'est-à-dire tous les organismes capables de se reproduire et de se développer, sont sujets.
Si on suppose qu'effectivement les êtres vivants sont sujets, alors cela implique qu'ils sont capables d'éprouver des sentiments, des sensations, des émotions, des pensées. Ils seraient donc capables de vivre une expérience subjective du monde.
Au contraire, si on nie qu'effectivement les êtres vivants sont sujets, alors cela signifie qu'ils ne sont pas capables d'éprouver des sentiments, des sensations, des émotions, des pensées. Ils seraient donc incapables de vivre une expérience subjective du monde.
II) Enonciation des alternatives et problématisation
Il semble à première vue que oui, car les êtres vivants présentent de nombreux comportements qui semblent indiquer qu'ils sont capables d'éprouver des sentiments et des sensations. Par exemple, les animaux manifestent des émotions telles que la joie, la tristesse, la colère, la peur. Ils peuvent également ressentir des sensations physiques telles que la douleur, le plaisir, la faim, la soif.
Donc, par définition, il semblerait que les êtres vivants sont sujets. En effet, la subjectivité est la capacité d'éprouver des sentiments et des sensations. Et les êtres vivants manifestent des comportements qui indiquent qu'ils sont capables d'éprouver des sentiments et des sensations.
Si à première vue on peut soutenir que non, car les êtres vivants sont souvent considérés comme des machines biologiques. Ils sont régis par des lois physiques et biologiques qui déterminent leur comportement.
Il semble pourtant que l'expérience montre bien souvent que les êtres vivants sont capables d'éprouver des sentiments et des sensations. Par exemple, les animaux sont capables d'apprendre et de s'adapter à leur environnement. Ils sont également capables de résoudre des problèmes et de prendre des décisions. Ces comportements semblent indiquer qu'ils sont capables de penser et de ressentir.
Paradoxalement, on a alors l'impression que les êtres vivants sont à la fois sujets et non-sujets. Ils sont capables d'éprouver des sentiments et des sensations, mais ils sont également régis par des lois physiques et biologiques.
III) Problématique
On pourra alors se demander : est-ce que les êtres vivants sont sujets ou bien est-ce qu'ils ne sont pas sujets ?
Cette question est complexe et ne peut pas être tranchée de manière simple. Elle nécessite une réflexion approfondie sur la nature de la subjectivité et sur le statut des êtres vivants.
IV) Annonce du plan
Dans un premier moment, nous verrons que les êtres vivants présentent de nombreux comportements qui semblent indiquer qu'ils sont sujets.
Puis, nous verrons que les êtres vivants sont également régis par des lois physiques et biologiques qui pourraient suggérer qu'ils ne sont pas sujets.
Enfin, nous nous demanderons si les êtres vivants sont sujets ou non.
Exemples
Voici quelques exemples de comportements qui semblent indiquer que les êtres vivants sont sujets:
→ Les animaux manifestent des émotions telles que la joie, la tristesse, la colère, la peur.
→ Ils peuvent également ressentir des sensations physiques telles que la douleur, le plaisir, la faim, la soif.
→ Ils sont capables d'apprendre et de s'adapter à leur environnement.
→ Ils sont également capables de résoudre des problèmes et de prendre des décisions.
Ces comportements suggèrent que les êtres vivants sont capables d'éprouver des sentiments et des sensations, de penser et de ressentir. Ils sont donc capables de vivre une expérience subjective du monde.