Faut-il, pour connaître le vivant, l'assimiler à une machine ?
Voici une proposition de développement de la dissertation en suivant la méthode donnée :
I) Présentation du paradoxe et définitions :
Le sujet de notre réflexion est le suivant : Faut-il, pour connaître le vivant, l'assimiler à une machine ? Si nous supposons effectivement que le vivant peut être assimilé à une machine, cela implique que ses caractéristiques et son fonctionnement peuvent être expliqués par des mécanismes similaires à ceux des machines. En revanche, si nous nions cette assimilation, cela signifie que le vivant possède des aspects et des propriétés qui ne peuvent être réduits à une simple machine.
II) Énonciation des alternatives et problématisation :
À première vue, il semble possible d'affirmer que oui, il est nécessaire d'assimiler le vivant à une machine, car cela permettrait de comprendre son fonctionnement complexe à travers des modèles mécanistes. Par conséquent, selon la définition donnée, il semblerait évident que le vivant peut être appréhendé de cette manière, ce qui représente une vision commune (doxa).
Cependant, malgré cette réponse évidente, il est important de noter que l'expérience montre souvent que le vivant possède des caractéristiques qui ne peuvent être expliquées uniquement par des mécanismes mécaniques. Paradoxalement, cela nous amène à penser que le vivant est plus que simplement une machine et qu'il comporte des aspects échappant à une compréhension purement mécaniste.
III) Problématique :
Nous pouvons alors nous demander : est-ce que le vivant doit être assimilé à une machine, ou bien possède-t-il des spécificités qui dépassent le cadre mécaniste ?
IV) Annonce du plan :
Dans un premier temps, nous examiner