De quoi somme-nous prisonniers ?
Bien sûr, voici comment tu peux suivre la méthode pour rédiger une dissertation sur le sujet "De quoi sommes-nous prisonniers ?" en remplissant les étapes et en ajoutant des explications et des exemples :
I) Présentation du paradoxe et définitions :
De quoi sommes-nous prisonniers ? Si on suppose qu'effectivement nous sommes prisonniers de nos habitudes et de notre confort, alors cela implique que nous restons souvent dans notre zone de confort par peur du changement. Au contraire, si on nie qu'effectivement nous sommes prisonniers de nos habitudes, cela a pour conséquence que nous pouvons nous ouvrir à de nouvelles expériences.
II) Énonciation des alternatives et problématisation :
Il semble à première vue que nous sommes prisonniers de nos habitudes, car cela offre une certaine sécurité. Donc, par définition, il semblerait que la réponse évidente au sujet soit que nous sommes prisonniers de notre confort (Doxa). Si à première vue on peut soutenir que nous ne sommes pas prisonniers, car nous avons la liberté de choix, il semble pourtant que l'expérience montre bien souvent que nous restons dans nos habitudes par peur de l'inconnu. Paradoxalement, on a alors l'impression que nous sommes prisonniers de notre propre choix de rester dans notre zone de confort.
III) Problématique :
On pourra alors se demander : est-ce que nous sommes réellement prisonniers de nos habitudes, ou bien avons-nous la liberté de choix ?
IV) Annonce du plan :
Dans un premier moment, il s'agira de voir que nous sommes parfois prisonniers de nos habitudes par souci de sécurité. Puis nous verrons que cette prison invisible peut également être le résultat de nos peurs du changement. Enfin, nous nous demanderons si nous avons la capacité de nous libérer de cette prison et comment.
Maintenant, tu peux développer chaque partie de ta dissertation en fournissant des arguments, des exemples et des contre-arguments pour chaque perspective. N'oublie pas d'utiliser des citations, des statistiques ou des études pertinentes pour renforcer tes arguments. Bonne rédaction !