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De tout ce que je suis ou je possède, que puis-je considérer comme véritablement à moi ?

Bien sûr, voici la méthode de dissertation adaptée à votre sujet : "De tout ce que je suis ou je possède, que puis-je considérer comme véritablement à moi ?"



I) Présentation du paradoxe et définitions :

Le sujet nous amène à réfléchir sur la notion de possession et d'identité. Si l'on suppose qu'effectivement ce qui nous appartient est ce que nous possédons matériellement, alors cela implique que nos biens matériels sont réellement à nous. En revanche, si l'on nie cela et que l'on considère que ce qui est véritablement à nous réside dans nos expériences et notre identité, cela a pour conséquence que les biens matériels ne définissent pas notre essence.





II) Énonciation des alternatives et problématisation :

À première vue, il semble que ce que nous possédons matériellement est effectivement à nous, car nous en avons le contrôle. Donc, par définition, il semblerait que nos biens matériels nous appartiennent réellement (doxa). Cependant, si l'on creuse un peu plus, on réalise que notre identité, nos expériences et nos souvenirs sont bien plus intimes et fondamentaux que nos possessions matérielles. Paradoxalement, on a alors l'impression que nos biens matériels ne sont que des éléments externes à notre véritable "moi".







III) Problématique :

On pourra alors se demander : est-ce que ce que nous possédons matériellement est réellement à nous, ou bien est-ce que notre véritable identité et nos expériences sont ce qui constitue réellement notre propriété ?





IV) Annonce du plan :

Dans un premier moment, nous examinerons pourquoi l'on pourrait considérer que nos biens matériels nous appartiennent véritablement. Ensuite, nous verrons en quoi nos expériences et notre identité peuvent être perçues comme étant notre véritable possession. Enfin, nous nous demanderons si une conciliation entre ces deux aspects est possible, ou si l'un prédomine sur l'autre. Pour ce faire, nous utiliserons des exemples concrets pour illustrer nos propos.