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Aimer les mythes, est-ce en quelque manière se montrer philosophe ?

Dissertation
Sujet : Aimer les mythes, est-ce en quelque manière se montrer philosophe ?


Introduction


I/ Présentation du paradoxe et définitions
Le mythe est un récit imaginaire, souvent narratif, qui met en scène des personnages surnaturels ou des événements extraordinaires. Il est souvent utilisé pour expliquer des phénomènes naturels ou sociaux, ou pour transmettre des valeurs morales. La philosophie, quant à elle, est la recherche de la vérité par la raison. Elle vise à comprendre le monde et l'homme, à travers la réflexion et la discussion.




II/ Enonciation des alternatives et problématisation
À première vue, il semble que aimer les mythes soit incompatible avec la philosophie. En effet, les mythes sont souvent considérés comme des récits irrationnels, qui ne sont pas fondés sur la vérité. Par conséquent, aimer les mythes, c'est aimer l'irrationnel, ce qui est contraire à l'esprit de la philosophie.
Cependant, l'expérience montre bien souvent que les mythes sont souvent porteurs d'une sagesse et d'une profondeur qui ne sont pas accessibles par la raison pure. Ils peuvent nous aider à comprendre le monde et l'homme, à travers des images et des symboles.






III/ Problématique
On peut alors se demander : aimer les mythes est-il incompatible avec la philosophie ? Ou bien, au contraire, est-ce une manière de se montrer philosophe ?




IV/ Annonce du plan
Dans un premier moment, nous verrons que aimer les mythes peut être considéré comme une attitude irrationnelle, incompatible avec la philosophie. Puis, nous verrons que les mythes peuvent aussi être considérés comme des récits porteurs de sens, qui peuvent enrichir la réflexion philosophique. Enfin, nous nous demanderons si aimer les mythes est une manière de se montrer philosophe.


I/ Aimer les mythes, une attitude irrationnelle ?
Les mythes sont souvent considérés comme des récits irrationnels, car ils mettent en scène des personnages et des événements qui ne sont pas conformes à la réalité. Ils peuvent être absurdes, violents ou même cruels.
Aimer les mythes, c'est donc aimer l'irrationnel. C'est aimer ce qui ne correspond pas à la raison, ce qui ne peut pas être expliqué par la science.
Cette attitude est incompatible avec la philosophie, qui vise à comprendre le monde par la raison. La philosophie est une discipline rationaliste, qui rejette l'irrationnel.




II/ Les mythes, des récits porteurs de sens ?
Les mythes sont souvent porteurs de sens, car ils expriment des valeurs morales, des croyances religieuses ou des aspirations humaines. Ils peuvent nous aider à comprendre le monde et l'homme, à travers des images et des symboles.
Aimer les mythes, c'est donc aimer des récits qui peuvent nous enrichir intellectuellement et spirituellement.






III/ Aimer les mythes, une manière de se montrer philosophe ?
Si les mythes sont porteurs de sens, alors aimer les mythes peut être considéré comme une manière de se montrer philosophe. En effet, la philosophie vise à comprendre le monde et l'homme, à travers la réflexion et la discussion.
Aimer les mythes, c'est donc s'intéresser à ces questions fondamentales. C'est s'ouvrir à la réflexion philosophique.
Conclusion
Aimer les mythes peut être considéré comme une attitude irrationnelle, incompatible avec la philosophie. Cependant, les mythes peuvent aussi être considérés comme des récits porteurs de sens, qui peuvent enrichir la réflexion philosophique.
Ainsi, aimer les mythes peut être une manière de se montrer philosophe.
Bilan
La question de savoir si aimer les mythes est en quelque manière se montrer philosophe est complexe. Il existe des arguments en faveur de la thèse que les mythes sont irrationnels et incompatibles avec la philosophie. Cependant, il existe aussi des arguments en faveur de la thèse que les mythes peuvent être porteurs de sens et enrichir la réflexion philosophique.
En conclusion, il n'y a pas de réponse définitive à cette question. Il s'agit d'une question de perspective, qui dépend de la définition que l'on donne de la philosophie et du mythe.