Désirer ressembler à autrui est-ce nécessairement aliénant ?
Bien sûr, voici comment vous pourriez suivre la méthode pour votre dissertation sur le sujet "Désirer ressembler à autrui est-ce nécessairement aliénant ?" en remplissant les étapes une par une :
I) Présentation du paradoxe et définitions :
Le sujet de notre dissertation est : "Désirer ressembler à autrui est-ce nécessairement aliénant ?"
Si on suppose qu'effectivement désirer ressembler à autrui signifie vouloir adopter les traits, les comportements ou le style de vie d'une autre personne, alors cela implique que l'individu cherche à s'éloigner de son identité unique pour se conformer à une norme sociale.
Au contraire, si on nie qu'effectivement désirer ressembler à autrui ne soit pas nécessairement aliénant, alors cela a pour conséquence que cela peut être un moyen d'intégration sociale et d'acceptation au sein d'un groupe.
II) Énonciation des alternatives et problématisation :
À première vue, il semble que désirer ressembler à autrui puisse être aliénant, car cela peut entraîner la perte de son individualité. Donc, par définition, il semblerait que la réponse évidente soit "oui, c'est aliénant" (Doxa).
Cependant, à première vue, on peut aussi soutenir que désirer ressembler à autrui est un moyen de s'adapter à un groupe social, ce qui peut être positif. Pourtant, l'expérience montre souvent que cette quête d'assimilation peut entraîner un sentiment d'aliénation de soi. Paradoxalement, on a alors l'impression que désirer ressembler à autrui peut être à la fois aliénant et non aliénant.
III) Problématique :
On pourra alors se demander : est-ce que désirer ressembler à autrui est nécessairement aliénant, ou existe-t-il des situations où cela peut être bénéfique ou neutre ?
IV) Annonce du plan :
Dans un premier temps, nous examinerons les aspects de l'aliénation liés au désir de ressembler à autrui. Puis, nous étudierons les situations où cela peut être perçu comme une adaptation sociale positive. Enfin, nous nous interrogerons sur les conditions et les limites de cette quête de ressemblance avec autrui.