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La fin de la politique est-elle l'établissement de la justice ?

Voici une proposition de réécriture de chaque étape pour le sujet donné :

I) Présentation du paradoxe et définitions :
La fin de la politique est-elle l'établissement de la justice ? Si on suppose qu'effectivement la politique vise à établir la justice, alors cela implique que toutes les actions politiques doivent être orientées vers cet objectif. Au contraire, si on nie que la politique a pour but l'établissement de la justice, cela signifie que d'autres motivations et intérêts peuvent influencer les décisions politiques.

II) Énonciation des alternatives et problématisation :
À première vue, il semble que la fin de la politique soit effectivement l'établissement de la justice. Par conséquent, selon cette définition, la politique devrait être guidée par des principes égalitaires et viser à réduire les inégalités sociales. Cependant, il est également possible de soutenir que la politique ne peut pas se limiter à la seule recherche de la justice, car l'expérience montre souvent que d'autres facteurs, tels que la stabilité économique ou la sécurité nationale, peuvent prendre le pas sur la justice. Paradoxalement, cela donne l'impression que la fin de la politique peut être plus complexe qu'une simple quête de justice.

III) Problématique :
On pourra alors se demander : est-ce que la fin de la politique est réellement l'établissement de la justice ou bien d'autres considérations entrent-elles en jeu ?

IV) Annonce du plan :
Dans un premier temps, nous examinerons les arguments en faveur de l'idée que la fin de la politique est l'établissement de la justice. Ensuite, nous aborderons les facteurs qui peuvent contredire cette réponse évidente en soulignant les autres objectifs de la politique. Enfin, nous nous interrogerons sur la possibilité de concilier ces différentes perspectives et nous nous demanderons si