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Doit-on tout accepter de l'État ?

Bien sûr, voici comment suivre la méthode pas à pas pour rédiger une dissertation sur le sujet "Doit-on tout accepter de l'État ?" en prenant en compte tes instructions.



I) Présentation du paradoxe et définitions :

Le sujet "Doit-on tout accepter de l'État ?" pose une question complexe sur la relation entre l'individu et l'État. Si on suppose qu'effectivement, nous devrions accepter tout ce que l'État décide, cela implique que nous devrions obéir à toutes ses lois et décisions, quelles qu'elles soient. Au contraire, si on nie qu'effectivement, nous devrions tout accepter de l'État, alors cela a pour conséquence que nous devrions avoir le droit de contester ses actions lorsque nous les jugeons injustes ou contraires à nos valeurs.





II) Énonciation des alternatives et problématisation :

À première vue, il semble que nous devrions en effet accepter tout ce que l'État décide, car il est l'autorité souveraine qui garantit l'ordre et la stabilité dans la société. Donc, par définition, il semblerait que la réponse évidente soit "oui, nous devons tout accepter de l'État" (Doxa).
Cependant, à première vue, on peut aussi soutenir que nous ne devrions pas tout accepter de l'État, car il arrive que les gouvernements abusent de leur pouvoir ou prennent des décisions contraires à l'éthique. Paradoxalement, dans ces cas, nous avons l'impression que nous devrions avoir le droit de contester ou de désobéir à l'État.







III) Problématique :

On peut alors se demander : est-ce que nous devrions accepter aveuglément tout ce que l'État décide, ou bien devrions-nous avoir le droit de remettre en question ses actions lorsque nous les jugeons injustes ?





IV) Annonce du plan :

Dans un premier temps, nous examinerons les arguments en faveur de l'acceptation totale des décisions de l'État, en montrant comment cela garantit la stabilité et l'ordre dans la société. Ensuite, nous explorerons les raisons pour lesquelles il peut être nécessaire de contester certaines actions de l'État, en prenant des exemples de situations où cela s'avère essentiel. Enfin, nous nous demanderons si une approche intermédiaire, qui reconnaît la légitimité de l'État tout en préservant le droit de contestation, est envisageable et souhaitable.