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Le mal est-il plus fort que le bien ?

I) Présentation du paradoxe et des définitions :
Le sujet de la dissertation qui nous est proposé est le suivant : Le mal est-il plus fort que le bien ? Si on suppose qu'effectivement le mal est plus fort que le bien, alors cela implique que les actions négatives ont un impact plus important sur notre vie et notre environnement que les actions positives. Au contraire, si on nie cette idée et que l'on affirme que le bien est plus fort que le mal, alors cela signifie que les actions positives ont un impact plus grand que les actions négatives.

II) Énonciation des alternatives et problématisation :

Il semble à première vue que le mal est plus fort que le bien, puisque les mauvaises actions ont tendance à avoir des conséquences plus dramatiques que les bonnes actions. Ainsi, par définition, il semblerait que le mal soit plus fort que le bien. Cette réponse semble évidente, presque commune (doxa).
Cependant, si l'on prend du recul, on peut soutenir que le bien est en réalité plus puissant que le mal. En effet, l'expérience montre bien souvent que les actions positives ont des répercussions plus importantes sur notre moral, notre entourage et notre environnement que les actions négatives. Paradoxalement, malgré cette observation, la tendance à faire le mal reste importante.

III) Problématique :

On pourra alors se demander si le mal est effectivement plus fort que le bien, ou bien si c'est une impression erronée laissée par le poids des conséquences de nos actions négatives ?

IV) Annonce du plan :

Dans un premier temps il s'agira d'exposer les arguments qui soutiennent l'idée que le mal est plus fort que le bien. Puis nous verrons les raisons pour lesquelles le bien peut être considéré comme plus puissant que le mal. Enfin, nous nous demanderons quelle attitude adopter face à ce paradoxe, et comment faire en sorte que le bien l'emporte sur le mal.
Par exemple, pour illustrer les deux premières parties, on pourrait prendre comme exemple les effets dévastateurs d'une guerre ou d'un conflit, qui laissent des traces profondes et durables dans nos sociétés, versus les bienfaits d'actions positives tels que le bénévolat, qui peut améliorer les conditions de vie des gens dans le besoin et créer une chaîne vertueuse d'entraide et de solidarité.