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Le travail est-il la meilleure des polices ?

Voici une proposition de développement de la dissertation en suivant la méthode donnée :

I) Présentation du paradoxe et définitions :
Le sujet de notre dissertation est le suivant : "Le travail est-il la meilleure des polices ?" Si nous supposons qu'effectivement le travail est la meilleure des polices, cela implique que l'activité professionnelle permet de maintenir l'ordre social et de prévenir les comportements déviants. Au contraire, si nous nions cette affirmation et considérons que le travail n'est pas la meilleure des polices, cela a pour conséquences que d'autres facteurs, tels que l'éducation ou la justice, jouent un rôle plus important dans la prévention de la criminalité.

II) Énonciation des alternatives et problématisation :
À première vue, il semble que le travail soit effectivement la meilleure des polices, puisque l'emploi offre aux individus une structure, une stabilité financière et une intégration sociale. Par conséquent, selon la définition donnée, il semblerait que le travail soit en effet la meilleure des polices, une réponse qui est souvent considérée comme évidente (doxa).
Cependant, si nous examinons de plus près, il apparaît que l'expérience montre souvent le contraire. Malgré l'existence du travail, certains individus peuvent toujours se tourner vers la criminalité, et paradoxalement, il semble que d'autres facteurs, tels que la marginalisation sociale ou les inégalités économiques, puissent jouer un rôle plus important dans la perpétuation de la délinquance.

III) Problématique :
Face à ce paradoxe, nous nous demanderons alors : est-ce que le travail est réellement la meilleure des polices, ou bien d'autres facteurs sont-ils plus déterminants dans la prévention de la criminalité ?

IV) Annonce du plan :
Dans un premier temps, nous examinerons les arguments en faveur de l'idée que le travail est la meilleure des polices, en mettant en avant les avantages sociaux et économiques qu'il apporte. Nous illustrerons cela par des exemples concrets de politiques de réinsertion professionnelle ayant réussi à réduire la délinquance.
Puis, nous aborderons les limites de cette vision en montrant que le travail ne garantit pas à lui seul une prévention efficace de la criminalité. Nous mettrons en évidence d'autres facteurs sociaux et économiques qui peuvent influencer davantage les comportements déviants. Des exemples de pays où