N'y a-t-il de savoir que livresque ?
Bien sûr, voici une version complète de la méthode de dissertation que vous avez fournie, adaptée au sujet "N'y a-t-il de savoir que livresque ?" avec des ajouts, des compléments et des exemples :
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I) Présentation du paradoxe et définitions :
Le sujet "N'y a-t-il de savoir que livresque ?" interroge la nature du savoir. Si on suppose effectivement que le savoir se limite aux connaissances livresques, alors cela implique que toute connaissance provient uniquement des livres, excluant ainsi l'expérience personnelle. Au contraire, si on nie cette idée et que l'on considère que le savoir peut également découler de l'expérience directe et de la pratique, cela a pour conséquence que le savoir ne se réduit pas à ce qui est écrit dans les livres.
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II) Énonciation des alternatives et problématisation :
Il semble à première vue que le savoir provienne uniquement des livres, car ils renferment une vaste quantité d'informations et de connaissances. Donc, par définition, il semblerait que le savoir soit principalement livresque. Par exemple, les manuels scolaires et les encyclopédies sont des sources importantes de connaissances.
Cependant, à première vue, on peut soutenir que le savoir ne se limite pas aux livres. Il semble que l'expérience personnelle, la pratique et l'interaction avec le monde réel jouent un rôle crucial dans l'acquisition du savoir. Paradoxalement, on a alors l'impression que le savoir est également issu de l'expérience vécue, comme l'apprentissage par la pratique dans des métiers artisanaux ou l'observation de phénomènes naturels.
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III) Problématique :
On pourra alors se demander : est-ce que le savoir est strictement limité aux connaissances livresques, ou bien peut-il également découler de l'expérience personnelle et de la pratique ?
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IV) Annonce du plan :
Dans un premier moment, nous examinerons en détail le rôle des livres dans l'acquisition du savoir et comment ils constituent une source essentielle de connaissances. Puis, nous verrons que l'expérience personnelle et la pratique sont également des moyens importants de développement du savoir. Enfin, nous nous demanderons si une combinaison des deux approches, livresque et expérientielle, est nécessaire pour une compréhension complète du savoir.