Comment et dans quelle mesure la science permet-elle la prévision des faits futurs ?

Bien sûr, voici comment suivre la méthode pas à pas pour faire la dissertation sur le sujet "Comment et dans quelle mesure la science permet-elle la prévision des faits futurs ?" en utilisant les étapes que vous avez fournies :



I) Présentation du paradoxe et définitions :

Si on suppose qu'effectivement la science permet de prévoir les faits futurs, alors cela implique que les lois scientifiques sont déterministes et prédictibles. Au contraire, si on nie qu'effectivement la science permet de prévoir les faits futurs, alors cela a pour conséquence que l'incertitude et le hasard jouent un rôle dans notre compréhension du monde.





II) Énonciation des alternatives et problématisation :

Il semble à première vue que oui, la science permet la prévision des faits futurs, puisque les avancées scientifiques ont permis des prédictions précises, comme les éclipses solaires. Donc, par définition, il semblerait que la science est un outil fiable pour prédire l'avenir (c'est la "doxa").
Cependant, à première vue, on peut soutenir que la science a ses limites et que certains phénomènes, comme les tremblements de terre, sont difficiles à prédire avec précision. Il semble pourtant que l'expérience montre bien souvent que des événements inattendus surviennent, contredisant ainsi la réponse évidente. Paradoxalement, on a alors l'impression que la science a ses limites en matière de prévision.







III) Problématique :

On pourra alors se demander : est-ce que la science est véritablement un outil infaillible pour prévoir les faits futurs, ou bien y a-t-il des limites à sa capacité prédictive ?





IV) Annonce du plan :

Dans un premier temps, nous examinerons les succès de la science en matière de prévision des faits futurs, en utilisant des exemples tels que les prédictions astronomiques. Puis, nous analyserons les limites de la prévision scientifique, en prenant l'exemple des phénomènes naturels imprévisibles. Enfin, nous nous interrogerons sur les implications de ces limites pour notre compréhension de la science en tant qu'outil de prévision des faits futurs.