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Est-ce à moi de juger mes actes ?


I) Présentation du paradoxe et définitions :
Le sujet "Est-ce à moi de juger mes actes?" pose un paradoxe intéressant. Si on suppose qu'effectivement, c'est à moi de juger mes actes, cela implique que j'ai le pouvoir et la responsabilité de déterminer si mes actions sont bonnes ou mauvaises. Au contraire, si on nie cette idée et affirme que ce n'est pas à moi de juger mes actes, cela signifie que d'autres personnes ou instances ont le pouvoir de décider de la valeur morale de mes actions.

II) Énonciation des alternatives et problématisation :
À première vue, il semble que oui, je suis le mieux placé pour juger mes actes, car je suis celui qui les réalise et je connais mes intentions et motivations. Donc, par définition, il semblerait que je sois le juge de mes propres actions, ce qui correspond à la réponse évidente au sujet. Cependant, il est possible de soutenir que ce n'est pas à moi de juger mes actes, car l'expérience montre souvent que notre perception de nos propres actions peut être biaisée. Paradoxalement, il arrive que nous ayons l'impression de bien agir alors que nos actions peuvent avoir des conséquences négatives ou être moralement condamnables.

III) Problématique :
On pourra alors se demander : est-ce que