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Peut-on définir le devoir comme ce qui nous coûte ?


I) Présentation du paradoxe et définitions :
Peut-on définir le devoir comme ce qui nous coûte ? Si on suppose qu'effectivement le devoir est ce qui nous coûte, alors cela implique que les obligations et responsabilités auxquelles nous devons faire face peuvent être perçues comme des charges lourdes et désagréables. Au contraire, si on nie qu'effectivement le devoir est ce qui nous coûte, alors cela a pour conséquences que les devoirs peuvent être vus comme des opportunités d'apprentissage, de développement personnel et de contribution à la société.

II) Énonciation des alternatives et problématisation :
Il semble à première vue que oui, le devoir peut être considéré comme ce qui nous coûte, car il implique souvent des sacrifices, des efforts et des renoncements. Donc, par définition, il semblerait que le devoir soit perçu comme une contrainte et une charge. Si, à première vue, on peut soutenir que le devoir est ce qui nous coûte, il semble pourtant que l'expérience montre bien souvent que certains devoirs peuvent également être source de satisfaction, d'épanouissement et de fierté. Paradoxalement, on a alors l'impression que le devoir peut également être gratifiant et valorisant.

III) Problématique :
On pourra alors se demander : est-ce que le devoir est réellement ce qui nous coûte, ou bien peut-il également être perçu comme une source de satisfaction et d'épanouissement ?

IV) Annonce du plan :
Dans un premier temps, il s'agira d'explorer les aspects du devoir qui peuvent être perçus comme coûteux, en mettant en évidence les sacrifices et les contraintes qu'il implique. Puis, nous examinerons les aspects du devoir qui peuvent être gratifiants, en soulignant les bénéfices personnels et sociaux qu'il apporte. Enfin, nous nous demanderons si une conciliation entre ces deux perspectives est possible, en