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Peut-on dire plus qu'on ne pense ?


I) Présentation du paradoxe et définitions :
Le sujet "Peut-on dire plus qu'on ne pense?" suppose que si on suppose qu'effectivement, il est possible de communiquer plus que ce que l'on pense, alors cela implique que la communication est beaucoup plus complexe qu'on ne le croit. Au contraire, si on nie qu'effectivement, il est possible de communiquer plus que ce que l'on pense, cela a pour conséquence que la communication est limitée par les pensées et les mots.
II) Énonciation des alternatives et problématisation Il semble à première vue que oui, on peut dire plus qu'on ne pense, puisque la communication peut être influencée par des facteurs tels que l'émotion, le contexte social, et les sous-entendus. Donc, par définition, il semblerait que la communication ne soit pas limitée par les pensées et les mots, ce qui est la réponse évidente au sujet, la doxa. Si à première vue on peut soutenir que la communication est limitée par les pensées et les mots, il semble pourtant que l'expérience montre bien souvent que les gens communiquent plus qu'ils ne le pensent. Paradoxalement, on a alors l'impression que la communication est beaucoup plus complexe qu'on ne le croit, car elle peut être influencée par des facteurs inconscients.
III) Problématique On pourra alors se demander : est-ce que la communication est limitée par les pensées et les mots, ou bien est-ce que la communication peut être influencée par des facteurs inconscients ?
IV) Annonce du plan Dans un premier moment, il s'agira de voir que la communication peut être influencée par des facteurs tels que l'émotion et le contexte social. Puis, nous verrons que la communication peut également être influencée par des sous-entendus et des facteurs inconscients. Enfin, nous nous demanderons si la communication peut être considérée comme une forme de pensée. Par exemple, dans un contexte social, une personne peut utiliser des sous-entendus pour communiquer une idée sans la dire explicitement, ce qui montre que la communication peut être influencée par des facteurs inconscients.