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Voici Aristote

(-384--322) Est un des premiers philosophes à considérer scientifiquement et rationnellement le monde. Il a formalisé la logique et le calcul logique, il est à l'origine de la tendance scientifique à classer le monde en catégories.



  • Notion : art

La tragédie est L’imitation d’une action achevée et complète en art.

  • Notion : bonheur

Le bonheur est indissociable d’une perspective d’accomplissement ou de réalisation de soi. Mais encore faut-il se demander ce qu’est L’homme et quelle est sa tâche en cette vie. L’homme peut passer à côté du bonheur s’il renonce à accomplir la tâche pour laquelle il est fait, par excellence, à savoir de mener une vie conforme à la raison.

  • Notion : devoir

Pour Aristote, dans L’Éthique à Nicomaque, la question morale n’est pas, ou pas seulement, « que dois-je faire ? », mais « qui suis-je ? », « qui fait ce que je fais ? ». Dès lors, la morale s’entend comme un équilibre entre des excès et des défauts, équilibre qui relève autant de la règle en elle-même que du caractère de la personne. Comment caractériser cet équilibre ?

  • Notion : État

Dès L’Antiquité, on débat pour savoir si la vie commune a une origine naturelle ou conventionnelle. Les sophistes voient dans L’association politique le résultat d’un contrat. Aristote s’oppose à cette conception en argumentant en faveur de la naturalité de la cité.

  • Notion : État

L’homme est par nature un animal politique. La cité – polis en grec – est naturelle à L’homme selon Aristote, dans le sens où elle seule permet L’accomplissement de sa nature propre. En effet, c’est au sein de la cité que les hommes dialoguent ensemble afin d’élaborer une communauté politique juste.

  • Notion : justice

Appliquer la loi avec souplesse. Le respect de la loi est, avec L’égalité, L’une des manières de caractériser la justice selon Aristote. Mais cela n’implique pas que la loi soit un principe absolu. Au contraire, la loi ne pouvant préciser les conditions particulières de son application, il faut lui associer un correctif, L’équité.

  • Notion : justice

Aristote définit la justice comme ce qui est conforme à la loi et à L’égalité. En ce sens, L’égalité se ramène à une proportion, c’est-à-dire à une égalité entre des rapports. Il faut alors distinguer deux formes de proportion, correspondant à deux sortes de justice.

  • Notion : justice

Aristote distingue, dans le livre V de L’Éthique à Nicomaque, différents types de justice : les justices distributive, corrective, rétributive, et la justice comme vertu. s’y ajoute la différence entre le juste, selon la nature, et le juste, selon la loi. Si chacune de ces espèces de justice a sa norme, il reste que, parfois, la recherche du juste consiste à ne pas appliquer strictement la règle, pour en préserver L’esprit.

  • Notion : langage

Dans la Rhétorique, Aristote distingue trois modes de persuasion : par le vrai et la démonstration (logos), par L’excellence du caractère du locuteur (ethos) et par L’éveil des passions de L’auditeur (pathos). Aristote traite des aspects de la persuasion par les passions : celui de la puissance de la voix, de L’intonation et du geste, les trois composantes de L’action oratoire.

  • Notion : liberté

C’est au moment où s’effondre la polis (cité) grecque sous la pression des grands royaumes macédoniens qu’Aristote écrit Les Politiques. Pour le philosophe, la cité offre les conditions idéales d’une vie autarcique, indépendante du besoin. Mais son organisation pose la question de la place du pouvoir et de sa distribution : le pouvoir est-il compatible avec L’exercice, par chaque citoyen, de la liberté ?

  • Notion : liberté

La distinction entre le volontaire et L’involontaire est fondamentale pour la réflexion éthique. d’elle dépendent en effet la sévérité de nos blâmes et la force de nos éloges. Mais est-elle toujours simple à opérer ?

  • Notion : nature

Aristote définit la nature comme principe d’engendrement. Elle produit les êtres naturels, qui ont en eux-mêmes leur principe constitutif, contrairement aux produits techniques qui sont façonnés de L’extérieur par L’homme.

  • Notion : nature

L’objet de la Physique est la nature (physis, en grec). Aristote cherche à déterminer des principes qui vaudraient pour tous les êtres naturels et qui distingueraient ces derniers des êtres artificiels. Mais n’y a-t-il pas une porosité entre ce qui est naturel et ce qui est artificiel ?

  • Notion : nature

La nature animée est régie par des fins : chaque être naturel est organisé d’une manière optimale jusque dans ses moindres parties. Cela rend la nature d’autant plus admirable et belle.

  • Notion : raison

Dans le livre gamma de Métaphysique, Aristote se donne pour objet d’étude « l’être en tant qu’être » et non pas un genre d’êtres particuliers. Comme le philosophe ne sépare pas L’étude des principes premiers de L’être des principes fondamentaux de la pensée, il est amené à poser « le principe le plus sûr de tous », « le principe de tous les autres axiomes », celui qui serait au fondement, donc, de notre rationalité.

  • Notion : raison

La logique repose sur quelques principes fondamentaux.

  • Notion : raison

Nos raisonnements se fondent sur certains principes communs, c’est-à-dire sur certaines propositions qu’il nous faut poser au préalable, comme les fondations d’un édifice. Le premier principe est le principe de non-contradiction : c’est le principe du raisonnement.

  • Notion : science

Aristote s’attache à définir L’objet propre de la science : non pas les faits individuels que nous percevons par la sensation, mais les propriétés universelles, qui s’appliquent à tous les cas d’un même genre ou d’une même espèce, et permettent d’en faire voir la cause. Il n’y a de science que de L’universel.

  • Notion : science

Aristote, dans les Seconds Analytiques, analyse les notions fondamentales de contradiction, de contrariété, d’implication et de modalité. Cet effort de clarification permet de dégager des critères de scientificité d’une théorie, d’un raisonnement ou d’une proposition. À quelles conditions pouvons-nous disposer d’un savoir scientifique ?

  • Notion : technique

Comment concevoir le rapport du corps humain aux dispositions techniques de L’homme ? Anaxagore, philosophe grec présocratique, n’a pas hésité à faire des mains L’origine de L’intelligence humaine. Aristote, qui raisonne à partir de la notion de finalité, propose une autre analyse. Anaxagore dit ainsi que c’est du fait qu’il a des mains que L’être humain est le plus intelligent des animaux, alors qu’il est rationnel que ce soit du fait qu’il est le plus intelligent qu’il soit pourvu de mains.

  • Notion : technique

Contrairement à ce qu’affirme Protagoras dans sa version du mythe de Prométhée rapportée par Platon, Aristote montre que L’homme n’est pas le moins bien loti des animaux, bien au contraire : L’intelligence humaine permet de développer les fonctions de la main, premier de tous nos outils.

  • Notion : temps

Le temps n’est pas le mouvement, puisque le mouvement peut être lent ou rapide, alors que le temps ne peut, semble-t-il, sans se contredire, comporter lui-même de vitesse. Mais le temps a quelque chose du mouvement, puisque L’existence même du temps ne va pas sans celle du mouvement. c’est cette primauté du mouvement sur le temps qu’Aristote discute au quatrième livre de la Physique.

  • Notion : travail

Il importe de distinguer avec justesse les différentes sortes de pratiques humaines. c’est pourquoi Aristote définit L’activité productive (poiêsis) comme une pratique spécifique, sollicitant d’autres vertus intellectuelles et d’autres habiletés que la connaissance (theoria) et L’action (praxis).

  • Notion : travail

Le travail altère les dispositions de L’homme libre. Dans le cadre d’une réflexion sur L’éducation et la politique, Aristote compare les différents arts (métiers) pour évaluer leur valeur formatrice. Or les arts utiles peuvent, par leur côté laborieux, atrophier les dispositions corporelles et intellectuelles de L’homme libre, surtout lorsqu’il s’agit de travailler pour d’autres.

La main, l'outil polyvalent de l'être humain

  • et

« L'être le plus intelligent est celui qui est capable de bien utiliser le plus grand nombre d'outils : or, la main semble bien être non pas un outil, mais plusieurs. Car elle est pour ainsi dire ...»

La volonté de l'injustice et de l'intempérance

« Il est absurde de supposer que l'homme qui commet des actes d'injustice ou d'intempérance  ne souhaite pas être injuste ou intempérant, et si, sans avoir l'ignorance pour excuse, on acc ...»

La connaissance de soi à travers l'amitié

  • et

« Apprendre à se connaître est très difficile […] et un très grand plaisir en même temps (quel plaisir de se connaître !) ; mais nous ne pouvons pas nous contempler nous-mêmes à partir ...»

L'homme, un animal politique

« Il est manifeste […] que la cité fait partie des choses naturelles, et que l'homme est par nature un animal politique, et que celui qui est hors cité, naturellement bien sûr et non par le ha ...»

La beauté cachée de la nature animale

« À vrai dire, certains de ces êtres  n'offrent pas un aspect agréable ; mais la connaissance du plan de la Nature en eux réserve à ceux qui peuvent saisir les causes, ceux qui ont le ...»

Le choix et le souhait : deux notions distinctes mais complémentaires

  • et

« Le choix n'est certainement pas la même chose que le souhait, bien qu'il en soit visiblement fort voisin. Il n'y a pas de choix, en effet, des choses impossibles, et si on prétendait faire port ...»

L'équitable comme correctif de la loi

« Telle est la nature de l'équitable, qui est un correctif de la loi là où elle se montre insuffisante en raison de son caractère général. Tout ne peut être réglé par la loi. En voici la ra ...»

Les limites du pouvoir judiciaire

« Des lois bien faites doivent, à la vérité, déterminer elles-mêmes autant de cas qu'il se peut, en laisser le moins possible à la décision des juges, d'abord parce qu'un ou quelques hommes ...»

L'équilibre entre pouvoir et humilité

« Ceux qui ont à l'excès les dons de la fortune - force, richesse, amis et autres avantages de ce genre - ne veulent ni ne savent obéir (et ce défaut, ils le tiennent, dès l'enfance, de leur f ...»

La quête du bonheur absolu

« Ce qui est digne d'être poursuivi par soi, nous le nommons plus parfait que ce qui est poursuivi pour une autre chose, et ce qui n'est jamais désirable en vue d'une autre chose, nous le déclar ...»

La nécessité de la stabilité des lois et la prudence des changements

« Même quand il s'agit des lois écrites, la meilleure solution n'est pas toujours de les conserver immuables. En effet, dans l'ordre politique il est impossible de préciser par écrit tous les d ...»

L'amitié véritable, une rareté précieuse

  • et

« Il n'est pas possible qu'on soit aimé de beaucoup de gens d'une amitié parfaite, pas plus qu'il n'est possible d'aimer beaucoup de personnes à la fois. La véritable amitié est une sorte d'ex ...»

La main, un outil polyvalent pour l'homme

« L'être le plus intelligent est celui qui est capable de bien utiliser le plus grand nombre d'outils : or, la main semble bien être non pas un outil, mais plusieurs. Car elle est pour ainsi dire ...»

La fausse équivalence des opinions

  • et

« Attacher une valeur égale aux opinions et aux imaginations de ceux qui sont en désaccord entre eux, c'est une sottise. Il est clair, en effet, que ou les uns ou les autres doivent nécessairemen ...»

Actions mixtes, entre volonté et nécessité

« Pour les actes accomplis par crainte de plus grands maux ou pour quelque noble motif (par exemple, si un tyran nous ordonne d'accomplir une action honteuse, alors qu'il tient en son pouvoir nos pa ...»

L'éducation de l'enfant et la maîtrise des désirs selon aristote

« Les enfants vivent sous l'empire du désir, et c'est surtout chez eux que l'on rencontre la recherche de l'agréable. Si donc on ne rend pas l'enfant docile et soumis à l'autorité, il ira fort ...»

Responsabilité individuelle et libre arbitre

  • et

« Les actions dont les principes sont en nous dépendent elles-mêmes de nous et sont volontaires. En faveur de ces considérations, on peut, semble-t-il, appeler en témoignage à la fois le compor ...»

L'autorité politique : apprendre à commander en étant gouverné

« Il existe une forme d'autorité en vertu de laquelle on commande à des personnes de même origine et qui sont de surcroît des hommes libres - c'est celle-là que nous appelons l'autorité polit ...»

La volonté de l'injustice et de l'intempérance

  • Éthique à Nicomaque
  • et

« Il est absurde de supposer que l'homme qui commet des actes d'injustice ou d'intempérance ne souhaite pas être injuste ou intempérant ; et si, sans avoir l'ignorance pour excuse, on accomplit ...»

Le choix et le souhait : distinction et implications

  • et

« Le choix n'est certainement pas […] un souhait, bien qu'il en soit visiblement fort voisin. Il n'y a pas de choix, en effet, des choses impossibles, et si on prétendait faire porter son choix s ...»

Le plaisir comme moyen ou fin dans la vie

  • Éthique à Nicomaque
  • et

« Le fait que l'ami est autre que le flatteur semble montrer clairement que le plaisir n'est pas un bien, ou qu'il y a des plaisirs spécifiquement différents. L'ami, en effet, paraît rechercher ...»

Le pouvoir du choix éclairé

  • et

« Le choix judicieux est l'affaire des gens de savoir : par exemple le choix d'un géomètre appartient à ceux qui sont versés dans la géométrie, et le choix d'un pilote à ceux qui connaissent ...»

Le plaisir de l'imitation, source de connaissance et d'attraction

  • et

« Imiter est naturel aux hommes et se manifeste dès leur enfance (l'homme diffère des autres animaux en ce qu'il est très apte à l'imitation et c'est au moyen de celle-ci qu'il acquiert ses prem ...»

L'équitable au-delà de la loi

  • Éthique à Nicomaque
  • et

« Ce qui fait la difficulté, c'est que l'équitable tout en étant juste, n'est pas le juste légal, le juste suivant la loi ; mais il est une heureuse rectification de la justice rigoureusement ...»

L'impossibilité de percevoir l'universel

  • Organon, Seconds analytiques
  • et

« L'universel, ce qui s'applique à tous les cas, est impossible à percevoir, car ce n'est ni une chose déterminée, ni un moment déterminé, sinon ce ne serait pas un universel, puisque nous ap ...»

Les conséquences de nos actions sur notre caractère

  • Éthique à Nicomaque
  • et

« En menant une existence relâchée les hommes sont personnellement responsables d'être devenus eux-mêmes relâchés, ou d'être devenus injustes ou intempérants, dans le premier cas par leur m ...»

L'amour de soi vertueux

« On dit d'un homme qu'il est maître de soi, ou non, suivant que la raison domine ou ne domine pas en lui, ce qui implique que c'est là ce qui constitue proprement chacun de nous. Et les actions ...»

La nécessité d'une base juste pour les lois

« Il convient donc, par-dessus tout, que les lois, établies sur une base juste, déterminent elles-mêmes tout ce qui est permis et qu'elles laissent le moins possible à faire aux juges. En voici ...»

La quête de la vérité : entre difficulté et contribution collective

« La découverte de la vérité est tout à la fois difficile en un sens ; et, en un autre sens, elle est facile. Ce qui prouve cette double assertion, c'est que personne ne peut atteindre complè ...»

La supériorité de l'homme meilleur ou des lois meilleures

« Est-il plus avantageux d'être gouverné par l'homme le meilleur ou par les lois les meilleures ? Ceux qui sont d'avis qu'il est avantageux d'être gouverné par un roi pensent que les lois ne p ...»

La nature des vertus et l'habitude

  • Éthique à Nicomaque
  • et

« Ce n'est ni par nature, ni contrairement à la nature que naissent en nous les vertus, mais la nature nous a donné la capacité de les recevoir, et cette capacité est amenée à maturité par l ...»

La volonté et la responsabilité de nos actions

  • Éthique à Nicomaque
  • et

« S'il est manifeste que l'homme est bien l'auteur de ses propres actions, et si nous ne pouvons pas ramener nos actions à d'autres principes que ceux qui sont en nous, alors les actions dont les ...»

L'art, la science et l'expérience selon aristote

  • et

« Les animaux autres que l'homme vivent […] réduits aux images et aux souvenirs ; à peine possèdent-ils l'expérience, tandis que le genre humain s'élève jusqu'à l'art  et jusqu'au ...»

L'importance de lois justes et claires

  • La Rhétorique
  • et

« Il convient […], par-dessus tout, que les lois, établies sur une base juste, déterminent elles-mêmes tout ce qui est permis et qu'elles laissent le moins possible à faire aux juges. En voic ...»

  • Politique
  • et

« De chaque objet que nous possédons, il y a deux usages différents, chacun de ces usages étant conforme à ce qu'est l'objet en lui-même, mais non de la même manière : l'un est l'usage propr ...»

L'intention fait la méchanceté

  • Rhétorique
  • et

« Comme il arrive souvent que le prévenu reconnaisse l'acte, mais non la qualification qui lui est donnée ou le délit qu'implique cette qualification, qu'il avoue, par exemple, avoir pris, mais ...»

Le bonheur réside dans l'activité vertueuse

  • Éthique à Nicomaque
  • et

« Pour tout homme, l'activité la plus désirable étant celle qui est en accord avec sa disposition propre, il en résulte que pour l'homme de bien, c'est l'activité qui correspond à la vertu. C ...»

Le bonheur, une fin en soi

  • Éthique à Nicomaque
  • et

« Ce qui est digne d'être poursuivi pour soi-même, nous le nommons plus parfait que ce qui est poursuivi pour une autre chose, et ce qui n'est jamais désirable en vue d'une autre chose, nous le d ...»

« Tout être capable de vivre selon son propre dessein doit se fixer un but pour bien vivre : honneur, gloire, richesse ou culture et, les yeux fixés sur lui, il posera tous ses actes (car ne pas ...»

La justice de l'intention

  • Rhétorique
  • et

« Une chose équitable, c'est […] d'excuser les actions humaines ; c'est de considérer, non pas la loi, mais le législateur ; non pas la lettre de cette loi, mais la pensée du législateur  ...»

L'adaptation nécessaire des lois dans l'organisation politique

« Comme dans les autres arts, en matière d'organisation politique, il est impossible de tout codifier avec précision ; les règles écrites sont forcément générales ; les actions, elles, por ...»

La difficulté de l'équité face à la loi

« Ce qui fait la difficulté, c’est que l’équitable, tout en étant juste, n’est pas le juste selon la loi, mais un correctif de la justice légale. La raison en est que la loi est toujours ...»

La nécessité de définir les lois pour éviter les jugements subjectifs

  • Rhe?torique
  • et

« Les lois correctement établies se doivent de définir tout ce qui peut l'être et laisser le moins possible à la charge de ceux qui jugent, d'abord parce qu'il est plus facile de trouver une ou ...»

  • E?thique a? Nicomaque
  • et

« Pour les actes accomplis par crainte de plus grands maux ou pour quelque noble motif (par exemple, si un tyran nous ordonne d’accomplir une action honteuse, alors qu’il tient en son pouvoir no ...»

La responsabilité de l'existence morale**

  • E?thique a? Nicomaque
  • et

« En menant une existence relàchée, les hommes sont personnellement responsables d’être devenus eux-mêmes relàchés, ou d’être devenus injustes ou intempérants , dans le premier c ...»

Les plaisirs absolus et relatifs : une quête de bonheur éclairée par aristote

  • E?thique a? Eude?me
  • et

« Parmi les biens, certains sont des biens absolus, mais d’autres sont bons pour quelqu’un sans être absolument bons. Et ce sont les mêmes choses qui sont absolument bonnes et qui plaisent ab ...»

La catharsis

II. La tragédie est l'imitation d'une action grave et complète, ayant une certaine étendue, présentée dans un langage rendu agréable et de telle sorte que chacune des parties qui la composent su ...»